La fin de janvier dernier, le grand professeur Didier Raoult a publié sur le célèbre réseau social à l’oiseau bleu les données clés de l’infectiopole de la cité phocéenne sur un nouveau variant du nouveau coronavirus nommé «le variant Marseille quatre» par ses scientifiques.
Selon les chercheurs de l’IHU de Marseille, la seconde vague de covid-19 cet été dans la région PACA a impliqué «dix nouvelles variantes du nouveau coronavirus successives ou vingt-huit concomitantes du virus».
Une d’entre elles, identifiée dès juillet dernier et nommée Marseille quatre, serait la première responsable d’une «pandémie qui a démarré juillet dernier remplaçant très rapidement d’autres variants du nouveau coronavirus».
Entre le premier septembre et le vingt janvier dernier, 2106 cas d’infection par cette nouvelle mutation du nouveau coronavirus ont été recensés dans la cité phocéenne.
Nos confrères de La Provence expliquent que d’après les scientifiques de l’infectiopole de marseille; cette nouvelle variante de marseille diffère beaucoup du nouveau coronavirus classique par «une fréquence quarante fois plus élevée d’hypoxémie».
Didier Raoult n’a pas dit son dernier mot