
Le Pr Christian Perronne, chef de service des maladies infectieuses à l’Hôpital Raymond Poincaré de Garches; publie en juin dernier, un réquisitoire accablant contre la politique du gouvernement; responsable, selon ses propos, d’un désastre sanitaire évitable et curable.
Ses arguments dès le début, sont simples et directs, d’autres plus complexes; mais pour comprendre les points clés de ce dossier, il faut revenir aux premières phases des recherches scientifiques sur l’Hydroxychloroquine. Cependant, tout débute en février dernier par l’étude menée par l’université de Qingdao dans l’épicentre de l’épidémie. L’administration orale de cinq-cent milligramme; de phosphate de chloroquine par jour a permis de guérir efficacement cent personnes porteurs du nouveau coronavirus, en 7 jours. Aucun effet secondaire indésirable n’a été relevé au cours de cette essai clinique. 15 laboratoires avaient d’ores et déjà prouvé que la chloroquine bloquait l’entrée du nouveau coronavirus; dans les cellules sanguines humaines exposées au virus. Mais c’est la 1ière fois que l’effet incitatif est observé « in vivo ».
Didier Raoult : Ses arguments dès le début, sont simples