Aujourd’hui, il n’y a pas de seconde vague du nouveau coronavirus. Elle n’existe que dans des conflits de chiffres et les alertes répétées de l’exécutif. Pire encore, la politique de la peur qui avive les craintes des citoyens, persiste à infantiliser les populations pour les voir obéir.
Cette pression déloyale est celle d’un gouvernement incapable, D’ailleurs, de s’affirmer sa pleine autorité dans l’hexagone. Il y a quelques jours, les autorités compétentes ont rajouté de nouvelles mesures sanitaires; surtout en classant la cité phocéenne en état d’alerte maximale : les restaurants, bars et salons de thé fermeront pour 15 jours. En effet, mardi dernier, le Professeur mareillais Didier Raoult, patron de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection; avait soutenu que le covid-19 était devenu moins grave qu’au mars dernier. Certes, les cas d’infection au coronavirus (Covid-19) augmentent de plus en plus avec la multiplication des tests.
Mais le nombre de décès par jour liés au virus reste néanmoins à un très bas niveau. Pour sa part, l’Institut national de la statistique et des études économiques précise : « Entre le premier mai et le sept septembre deux mille vingt, 200 594 morts sont enregistrés à la date du dix-huit septembre, soit le même niveau qu’en deux mille dix-neuf et 1 pour cent de plus qu’en deux mille dix-huit ». La panique et la peur en haut lieu au gouvernement est-elle, dans ce contexte, raisonnablement justifiée ?
Avec la crise sanitaire de covid-19, la parole sur la scène publique a du mal à regagner en autorité et crédibilité aux yeux des français. Les propos de l’exécutif sur l’inutilité des masques chirurgicaux antimicrobiens pour tous. Cepandant que l’épidémie du nouveau coronavirus explosait en mars et avril; auraient dû amener à faire preuve de plus de prudence. Mais chers Compatriotes, il faut croire que le gouvernement d’Emmanuel Macron a pris goût à son emprise auprès d’une opinion publique aujourd’hui terrifiée par la permanence des annonces anxiogènes.

Didier Raoult : pourquoi il agace le Système