Delphine Jubillar, une jeune femme de trente-trois ans, portée disparue depuis la nuit du quinze au seize décembre dernier.
Deux semaines que les recherches sont avérées infructueuses dans le village de Cagnac-les-Mines, et si la famille de la jeune maman garde espoir et patience assurant avec certitude que Delphine doit toujours être vivante, plusieurs personnes à faire des parallèles avec l’affaire Daval qui a fait l’objet de nombreux débats et a fait couler beaucoup d’encre.
Dans un entretien accordée à nos confrères de La Dépêche, Jean-Baptiste Alary, avocat de Cédric Jubillar, le mari de la victime, n’a pas voulu trop en dire sur l’état d’esprit de Cédric Jubillar, malgré la demande du journaliste. « J’ai pour instruction et c’est la position que je partage de ne pas parler sur des choses que l’on ne connaît pas… » a-t-il confié. Avant d’ajouter qu’il ne voulait « pas tomber dans les travers d’une affaire avec lequel on fait un peu trop le rapprochement aujourd’hui. »
Delphine Jubillar : l’avocat de son mari brise le silence