Les funérailles de Romy Schneider avait été marqués par la présence de plusieurs artistes, pourtant une absence de pois y a été notée, celle...
Les funérailles de Romy Schneider avait été marqués par la présence de plusieurs artistes, pourtant une absence de pois y a été notée, celle d’Alain Delon. Une absence qui avait jadis fait couler beaucoup d’encre. à la fin, Delon avait choisi de fuir ses amis. Sa disparition des funérailles de la fameuse actrice a bel et bien bouleversé du monde.
Quarante ans auparavant, Rosemarie Magdalena Albach, dite «Romy Schneider» est morte. Un décès qui avait fait connaître pas mal d’incognitos. Celui avait qui elle formait un duo légendaire s’est enfin exprimés sur les motifs de son absence pendant les funérailles. «Je ne voulais pas être la cible des photographes, c’était du voyeurisme. Je suis allé me recueillir sur sa tombe quelques jours plus tard, pour être seul avec elle sans personne». Sans oublier que le couple était au cœur d’une idylle largement traitée par les médias. Tous deux ils constituaient un duo illusoire durant des années.
Le célèbre acteur se rappelle des instants inoubliables qu’il avait vécus avec celle qui a tourné avec lui dans «La Piscine » (1969): «Je suis allé la veiller chez elle, je lui ai écrit une lettre que j’ai souvent lue depuis à la télévision. J’ai pris une photo d’elle morte sur son lit que je garde dans mon portefeuille: Romy a l’air de dormir d’un sommeil profond… Elle est magnifique, je la regarde souvent».
Dès son AVC, le fameux héros de «Samourai» pense trop à la mort. Apparemment, Delon a perdu le gout de vivre: «Je lis la presse tous les jours. Ce qui se passe ne me réjouit pas, c’est un enchaînement d’informations sinistres. Tous les jours, il y a un scandale, un viol, une tuerie d’enfants. Ne me dis pas que le monde est heureux! Je trouve que la vie est devenue insupportable, elle ne me fait plus beaucoup envie».
Quant à sa propre mort, cet originaire de Sceaux où il est né le 8 novembre 1935 ignore toujours ce qu’il désire : «Je rejoindrai peut-être ma mère, enterrée à Bourg-la-Reine. Ou bien ailleurs. Je ne sais pas encore, je veux surtout avoir la paix. Je n’ai pas peur de mourir. C’est normal, on y va tous. Mais j’ai peur de souffrir. Je ne veux pas finir dans un lit d’hôpital».
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