Une vraie légende du grand écran en France, Alain Delon a su laisser une spéciale empreinte sur le 7ème art. Un attachement pour l’art qu...
Une vraie légende du grand écran en France, Alain Delon a su laisser une spéciale empreinte sur le 7ème art. Un attachement pour l’art qu'il a transféré à son premier-né Anthony, qui a pu lui aussi tracer avec succès son chemin comme interprète.
Anthony Delon, rappelons le, qui a vu le jour comme fruit de la relation d’amour entre Alain Delon et son ex compagnon Francine Canovas, Alias «Nathalie Delon», qui ont fondé leur couple en 1964, mais leur relation a fini par le de divorce en 1969. La vie privée de la légende vivante du cinéma français a été si tourmentée. Et Anthony Delon a particulièrement révélé quelques côtés entre les colonnes de sa publication «Entre chien et loup», parue en cette année.
Et c’est sur le plateau de «Culture Médias», qu’anime Philippe Vandel sur Europe 1, qu’Anthony a abordé, ce vendredi, le sujet de son rapport avec son père au long de son jeune âge. Enfoncé par le monstre du cinéma, il a démasqué une terrifiante histoire.
Philippe Vandel résumé l’anecdote ainsi, se référant au bouquin d’Anthony: "Quand vous étiez enfant, il y a un tic qui agaçait votre père... Au lieu de monter la fourchette à la bouche, vous baissiez la bouche vers la fourchette. Votre père, ça l'exaspérait. Un jour, il y a un déjeuner, il vous passe un savon. Le déjeuner est terminé, votre père remonte dans votre chambre avec un gros fouet en cuir à la main. C'est le fouet en cuir de Zorro, le film qu'il tournait, et il vous met des coups".
Le fils ainé d’Alain Delon a également cité "Il m'a dit: «même mes chiens je ne les frappent pas avec fouet»… Encore une fois, j'explique dans le livre, en parlant de sa mère et de cet abandon, que ce n'est pas lui qui parlait, c'est l'enfant à l'intérieur de lui, qui était en souffrance, qui s'exprimait à ce moment-là. C'est ça que j'ai compris un jour.
Et c'est pour ça que j'ai réussi à lui pardonner".
Tôt sur la même antenne, Anthony avait parlé des corrections corporelles que son père lui avait fait subir pendant sa jeunesse. "Ça allait d'être à genou sur des règles en fer, de mettre les bras en croix avec des dictionnaires (...) les coups sur les doigts".
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